Amancio Amaro Varela ou Amancio, né le 16 octobre 1939 à La Corogne, Espagne, est un ancien footballeur espagnol qui jouait au poste d'attaquant.
Il a remporté le Championnat d'Europe des Nations 1964 avec l'Équipe d'Espagne (42 sélections et 11 buts entre 1962 et 1966), la coupe des clubs champions européens en 1966 ainsi que 9 titres de champion d'Espagne et 3 Copa del Rey avec le Real Madrid
Emilio Butragueño Santos est un footballeur espagnol né le 22 juillet 1963 à Madrid.
Chef de file d'un clan qui porte son nom, celui de la Quinta del Buitre, Emilio Butragueño s'est taillé une place de choix dans le cœur des supporters du Real Madrid. En compagnie de ses amis Sanchis, Rafael Martin-Vazquez, Miguel Pardeza et Michel, l'attaquant symbolise le renouveau des Merengue dans les années 1980. En effet, malgré le recrutement de stars internationales telles Paul Breitner ou Günter Netzer, le Real bafouillait sa légende avec 2 finales de Coupes d'Europe perdues en 1981 puis 1983. Sa reconquête passera une fois n'est pas coutume par une génération dorée sortie du centre de formation du Real, la Castilla. Résultats : 5 titres de champion d'Espagne d'affilée (de 1986 à 1990), 2 Coupes du Roi et 2 Coupes de l'UEFA (1985 et 1986).
El Buitre (le vautour) aimait rôder dans la surface de réparation. Vif et opportuniste, il ne ratait presque jamais le cadre. Repéré par Alfredo Di Stefano, Butragueño a malmené beaucoup de défenses, en dépit d'un physique peu avantageux (1,70m), notamment celle du Danemark en huitième de finale du Mondial 86 au Mexique en signant un quadruplé. Butragueño a d'ailleurs inscrit 26 buts en 69 sélections avec l'Espagne, mais comme la plupart des grands joueurs espagnols, il se retira des terrains avec un seul regret : un palmarès vierge en équipe nationale. Aujourd'hui El Buitre est vice-président chargé des affaires sportifs du Real Madrid.
José Santiago Cañizares Ruiz, né le 18 décembre 1969 à Madrid (Espagne), est un footballeur espagnol évoluant au poste de gardien. International espagnol.
Biographie [modifier]
Il commence sa carrière dans les catégories inférieures du Real Madrid. C'est grâce à une excellente saison à Merida qu'il est sélectionné afin de participer aux Jeux Olympiques d'été de 1992 se faisant ainsi remarqué par le Celta Vigo qui le transfére. Et c'est durant sa première saison en 1993 qu'il obtient le Trophée Zamora, titre récompensant le meillleur gardien de la saison. Il retourne ensuite au Real Madrid pour 4 saisons. Il joue depuis 1998 au FC Valence, avec qui il a obtenu trois autres trophées Zamora en 2001, 2002 et 2004. Ratant de très peu son cinquième trophée en 2006, il est sélectionné par Luis Aragonés afin de disputer la coupe du monde en Allemagne avec l'équipe d'Espagne.
José Antonio Camacho est un ancien joueur de football espagnol actuellement reconvertit comme entraîneur. Né 1955 à Cieza, Camacho a été formé à Albacete avant de rejoindre en 1974 le Real Madrid où il jouera jusqu'en 1989.
A peine âgé de 18 ans, il s'impose vite comme l'un des meilleurs défenseur Espagnol. Suite au 2 Liga remportés par le Real Madrid en 1975 et 1976, il intègre rapidement l'équipe d'Espagne. Camacho a participé avec l'équipe d'Espagne à 2 coupes du monde en 1982 et en 1986 et à l'Euro 1984. Malgré de nombreuses blessures, il totalise 81 sélections en équipe nationale ce qui fait de lui le troisième joueur le plus capé d'Espagne.Cependant c'est avec le Real Madrid que sa carrière atteint des sommets. Vainqueur de la Coupe UEFA en 1985 et 1986, Camacho est un élément incontournable du Real des années 1980 avec lequel il a remporté 9 Ligas et joué 415 rencontres.
C'est donc tout naturellement comme entraîneur de l'équipe junior puis de l'équipe B du Real Madrid qu'il commence sa nouvelle carrière. Après avoir entraîné avec plus ou moins de succès le Espanyol Barcelone et le FC Séville, il est appelé en 1998 pour diriger l'équipe d'Espagne avec laquelle il obtient d'assez bon résultats. Les espagnols sont éliminés en quart de finale de l'Euro 2000 par la France à l'issu d'un match très disputé puis échouent aux portes des demi finales de la coupe du monde 2002, battus d'une manière discutable par la Corée après tirs aux buts.
Il devient après la coupe du monde entraîneur du Benfica Lisbonne avec lequel il remporte la coupe du Portugal 2004, son premier trophée en tant qu'entraîneur.
En juillet 2004, il est appelé pour redresser une équipe du Real Madrid en crise. Mais il entre en conflit avec une partie de l'encadrement technique et financier du club et démissionne après avoir passé seulement quatre matchs sur le banc du Real.
En 2005, José Antonio Camacho n'a pas retrouvé de club et reste au chômage.
Biographie [modifier]
Pur produit du centre de formation du Real Madrid, Iker Casillas a profité en 2000 de la blessure du portier allemand Bodo Illgner pour devenir à seulement 18 ans le gardien de but titulaire des Merengue. À la fin de la saison, il dispute et remporte la finale de la Ligue des Champions contre Valence.
Particulièrement sollicité au sein d'une équipe qui pratique un football très offensif, Casillas s'est vu un temps reproché son inconstance, à tel point qu'il a été relégué lors de la saison 2001-2002 sur le banc des remplaçants au profit de César. Mais Casillas est revenu de la manière de la plus spectaculaire qui soit: rentré en fin de match lors de la finale de la Ligue des Champions 2002 contre le Bayer Leverkusen pour palier la sortie sur blessure de César, Casillas a multiplié les parades héroïques en fin de match pour assurer la victoire du Real. Depuis, il s'est progressivement affirmé comme l'un des meilleurs joueurs d'Europe à son poste. Il est également le gardien titulaire de l'équipe nationale espagnole depuis la coupe du monde 2002.
Francisco Gento est un ancien footballeur espagnol, né le 21 octobre 1933 à Guarnizo ( Espagne). Il a joué en tant qu’ailier gauche dans l’équipe du Real Madrid et dans l’équipe d'Espagne. Il possède l'un des plus beaux palmarès de tous les temps. Il a remporté six fois la Ligue des champions (un record) et 12 fois le Championnat d'Espagne de football.
Fernando Ruiz Hierro est un joueur de football espagnol né le 23 mars 1968 à Vélez-Málaga.
Il a été nommé footballeur de l'année en Espagne en 1997 par El País. Il evoluait au poste de Défenseur central ou de Milieu Défenssif.
Sergio Ramos Garcia, plus connu sous le nom de Sergio Ramos, est un joueur de football espagnol né le 30 mars 1986 à Séville. Il évolue habituellement au poste de défenseur central malgré une formation de latéral droit.
Formé par le FC Séville, il est transféré en août 2005 au Real Madrid pour la colossale somme de 27 millions d'euros devenant ainsi le défenseur le plus cher du monde. À seulement 18 ans, il est sélectionné dans l'équipe espagnole pour un match contre la Chine.
Promis à un avenir brillant, il devrait s'imposer comme l'un des meilleurs défenseur de sa génération.
Fernando Morientes est un footballeur espagnol né le 5 avril 1976 à Cáceres ( Espagne). Il joue depuis mai 2006 au Valence CF ainsi que dans la sélection nationale espagnole.
Biographie [modifier]
Fernando Morientes a longtemps évolué au Real Madrid, enchainant les bonnes performances. Il remporta 3 ligues des champions, en 1998 (1-0 contre la Juventus), 2000 (3-0 contre le FC Valence) et 2002 (2-1 contre le Bayer Leverkusen). Il décrocha sa première sélection en équipe d'Espagne contre la Suède en 1998. Il participa à la Coupe du monde 1998 et 2002, puis à l'Euro 2004.
« Nando » est arrivé à Monaco en 2003-04, après le début de la saison en raison de la blessure très grave de Shabani Nonda survenue contre le Paris-SG. Son indisponibilité conjuguée aux échéances européennes et nationales qui attendaient l'ASM lors de la saison contraint les dirigeants à s'attacher les services d'un attaquant au moins aussi redoutable que le Congolais, auteur de 26 buts la saison précédente. Leur choix se portera sur Fernando Morientes, international espagnol et joueur emblématique du grand Real Madrid, mais barré dans son club par Ronaldo et Raúl. Plutôt que de rester dans cette prison dorée, Nando choisit l'exil, et file à Monaco le temps d'une saison.
S'il n'a pas été très efficace en championnat, il a éclaboussé la coupe d'Europe de toute sa classe, notamment dès les quarts de finale. Son but à Santiago Bernabeu permettant aux Monégasques de revenir à 4-2 a une importance que personne ne mesure encore. Car ce but permet aux joueurs de l'ASM de se qualifier la semaine suivante en battant à Louis II le Real de Madrid. Morientes marque un but des plus beaux, en reprenant un centre de Patrice Evra de la tête telle une marionette ainsi que Giuly par deux fois, et les Monégasques renvoient le Real à la maison.Ce match restera l'un des plus beaux de toute l'histoire monégasque et même française.
Au tour suivant, lors de la demi-finale aller de la ligue des Champions, l'ASM reçoit le club anglais de Chelsea qui vient d'être racheté par le milliardaire russe Roman Abrahamovitch et qui a éliminé Arsenal au tour précédent. Sur le papier, Monaco est plus faible. Le début de match est équilibré : les Monégasques ouvrent le score par une magnifique tête de l'attaquant croate Dado Prso et Chelsea réplique dans la foulée par une égalisation signée Hernan Crespo. La première mi-temps s'achève donc sur un score de 1-1. Mais le tournant du match a lieu peu après la reprise du match. Lors d'un arrêt de jeu a lieu une petite bousculade : Zikos, le milieu défensif de l'ASM, pousse légèrement Claude Makélélé, le milieu de terrain français de Chelsea. Celui-ci ne bronche pas et s'écarte de Zikos puis s'écroule par terre en se prenant la tête à deux mains comme s'il venait de subir un attentat. L'arbitre du match n'y voit que du feu et expulse sur le champ Zikos. Les joueurs monégasques sont révoltés tandis que Marcel Desailly, le défenseur international français de Chelsea et ancienne gloire de l'équipe de France, applaudit cette décision à deux mains. Mais peu de temps plus tard, à la suite d'un corner, alors que l'arbitre a le dos tourné, le même Desailly assène un terrible coup de coude à Fernando Morientes ; ce dernier a beau protester, l'arbitre du match n'expulse pas Desailly. Les Monégasques n'en croient pas leurs yeux et leur situation est très compromise : ils jouent à dix, le but que Chelsea a marqué compte double car il a été signé à l'extérieur et la qualification très lointaine. Mais c'est à ce moment là que le grand Fernando Morientes s'illustre en signant un but somptueux qui permet à Monaco de reprendre l'avantage. Et Nonda qui rentre en fin de match parvient même à inscrire un troisième but : le retournement de situation est incroyable. Contre un grand d'Europe, Monaco, réduit à dix, parvient tout de même à remporter le match contre toute attente. Mais le club anglais, emmené par Franck Lampard, n'a pas dit son dernier mot et promet un match retour de folie aux Monégasques. Et ces derniers ne seront pas déçus : Chelsea réalise une première mi-temps magnifique, acculant les Monégasques dans leur camp (Flavio Roma, le gardien monégasque, sauve à plusieurs reprises son équipe) et inscrivant rapidement deux buts : leur retard est déjà comblé et à ce moment-là, Monaco est éliminé. En outre, Morientes a raté deux occasions immanquables, en tirant une fois sur le poteau et une autre fois juste à côté alors qu'il était seul face au gardien. Jérôme Rothen, le milieu de terrain gauche de l'ASM, a beau faire un match magnifique et donner le tournis à la défense de Chelse, rien n'y fait. Mais juste avant la mi-temps, ce même Rothen déborde sur son côté gauche, centre dans la surface, Morientes reprend de la tête : la balle est détourné par le gardien de Chelsea sur le poteau mais Hugo Ibarra, autre grande révélation de Monaco pendant cette aventure de la Ligue des Champions, a suivi et marque involontairement de la main. L'arbitre accorde le but, malgré les protestations de Chelsea, et le score est de 2 à 1 à la mi-temps. À la reprise, Chelsea repart à l'attaque mais la finition est maladroite et Monaco en profite pour mettre fin à tout suspense. Fernando Morientes, après un une-deux avec Lucas Bernardi, parvient à s’extraire du marquage de John Terry et William Gallas pour aller tromper le portier adverse et donner la qualification à Monaco. Score final : 2-2 à Stamford Bridge ! Les monégasques de Nando ont leur billet pour la finale. Mais cette dernière est une cruelle déception : suite à la rapide sortie du capitaine monégasque Ludovic Giuly, l’ASM s’incline sèchement face à Porto entraîné à l’époque par José Mourinho, actuel entraîneur de Chelsea : 3 buts à 0.
Fernando Morientes reste comme le symbole de la fabuleuse ligue des champions 2004 de l’ASM : par sa modestie, son talent et ses nombreuses qualités, il a permis à Monaco de réaliser une saison que de nombreuses personnes ne sont pas prêtes d’oublier.
Après un passage difficile à Liverpool où il se retrouvera en constante concurrence avec Peter Crouch ou Djibril Cissé qui le poussera vers le chemin de la sortie, il décide de rentrer en Espagne en mai 2006, plus précisément à Valence CF avec lequel il jouait actuellement la ligue des champions avant d'avoir été éliminé par les Blues de Chelsea 1-1 à l'aller et ensuite 1-2.
samedi 14 juillet 2007
Trophées individuels
Pichichis [modifier]
Le Real détient le record du nombre de Pichichi : 24.
Manuel Olivares: 16 (1932-33)
Pahíño: 28 (1951-52)
Alfredo Di Stéfano: 27 (1953-54), 24 (1955-56), 31 (1956-57), 19 (1957-58) et 23 (1958-59)
Ferenc Puskás: 26 (1959-60), 27 (1960-61), 26 (1962-63) et 20 (1963-64)
Amancio: 14 (1968-69) et 16 (1969-70)
Juanito: 17 (1983-84)
Hugo Sánchez: 22 (1985-86), 34 (1986-87), 29 (1987-88) et 38 (1989-90)
Emilio Butragueño: 19 (1990-91)
Iván Zamorano: 28 (1994-95)
Raúl: 25 (1998-99) et 24 (2000-01)
Ronaldo: 24 (2003-2004)
Ruud van Nistelrooy: 25 (2006-2007)
Zamora [modifier]
Hamza ejnaini 1960-61, 62-63, 63-64
Betancort 1964-65, 66-67
Junquera 1967-68
Miguel Ángel 1975-76
Agustín 1982-83
Francisco Buyo 1987-88, 91-92
Ballons d'Or [modifier]
Alfredo Di Stéfano 1957, 1959
Raymond Kopa 1958
Luis Figo 2000
Ronaldo 2002
Fabio Cannavaro 2006
Meilleur footballeur de l’année FIFA [modifier]
Luis Figo 2001
Ronaldo 2002
Zinédine Zidane 2003
Fabio Cannavaro 2006
Soulier d'or européen [modifier]
Hugo Sánchez 1989-1990 (38 buts)
Onze d'or [modifier]
Zinédine Zidane 2001
Ronaldo 2002
World Soccer Awards [modifier]
Luis Figo 2000
Ronaldo 2002
Zinédine Zidane 2003
Fabio Cannavaro 2006
Trophée Bravo [modifier]
Emilio Butragueño 1985
Emilio Butragueño 1986
Iker Casillas 2000
Le Real détient le record du nombre de Pichichi : 24.
Manuel Olivares: 16 (1932-33)
Pahíño: 28 (1951-52)
Alfredo Di Stéfano: 27 (1953-54), 24 (1955-56), 31 (1956-57), 19 (1957-58) et 23 (1958-59)
Ferenc Puskás: 26 (1959-60), 27 (1960-61), 26 (1962-63) et 20 (1963-64)
Amancio: 14 (1968-69) et 16 (1969-70)
Juanito: 17 (1983-84)
Hugo Sánchez: 22 (1985-86), 34 (1986-87), 29 (1987-88) et 38 (1989-90)
Emilio Butragueño: 19 (1990-91)
Iván Zamorano: 28 (1994-95)
Raúl: 25 (1998-99) et 24 (2000-01)
Ronaldo: 24 (2003-2004)
Ruud van Nistelrooy: 25 (2006-2007)
Zamora [modifier]
Hamza ejnaini 1960-61, 62-63, 63-64
Betancort 1964-65, 66-67
Junquera 1967-68
Miguel Ángel 1975-76
Agustín 1982-83
Francisco Buyo 1987-88, 91-92
Ballons d'Or [modifier]
Alfredo Di Stéfano 1957, 1959
Raymond Kopa 1958
Luis Figo 2000
Ronaldo 2002
Fabio Cannavaro 2006
Meilleur footballeur de l’année FIFA [modifier]
Luis Figo 2001
Ronaldo 2002
Zinédine Zidane 2003
Fabio Cannavaro 2006
Soulier d'or européen [modifier]
Hugo Sánchez 1989-1990 (38 buts)
Onze d'or [modifier]
Zinédine Zidane 2001
Ronaldo 2002
World Soccer Awards [modifier]
Luis Figo 2000
Ronaldo 2002
Zinédine Zidane 2003
Fabio Cannavaro 2006
Trophée Bravo [modifier]
Emilio Butragueño 1985
Emilio Butragueño 1986
Iker Casillas 2000
Records
Record de victoires de la Ligue des Champions (9),
Record de victoires du championnat de 1ère division espagnole (30),
Plus grand nombre de victoires dans l'histoire de la liga (1362),
Record de victoires d'affilée en liga.(15)
Record de victoires du championnat de 1ère division espagnole (30),
Plus grand nombre de victoires dans l'histoire de la liga (1362),
Record de victoires d'affilée en liga.(15)
Compétitions Nationales et Internationales
Coupe d'Europe des clubs champions (9)
Vainqueur : 1956, 1957, 1958, 1959, 1960, 1966, 1998, 2000, 2002
Finaliste : 1962, 1964, 1981
(283 matches, 164 victoires, 49 nuls et 70 défaites. 610 buts marqués, 321 encaissés)
Coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupe
Finaliste : 1971, 1983
Coupe UEFA (2)
Vainqueur : 1985, 1986
Supercoupe d'Europe (1)
Vainqueur : 2002
Finaliste : 1998, 2000
Coupe Intercontinentale (3)
Vainqueur : 1960, 1998, 2002
Championnat (30)
Champion : 1932, 1933, 1954, 1955, 1957, 1958, 1961, 1962, 1963, 1964, 1965, 1967, 1968, 1969, 1972, 1975, 1976, 1978, 1979, 1980, 1986, 1987, 1988, 1989, 1990, 1995, 1997, 2001, 2003, 2007
Vice-Champion : 1929, 1934, 1935, 1936, 1942, 1945, 1959, 1960, 1966, 1981, 1983, 1984, 1992, 1993, 1999, 2005, 2006
Coupe (17)
Vainqueur : 1905, 1906, 1907, 1908, 1917, 1934, 1936, 1946, 1947, 1962, 1970, 1974, 1975, 1980, 1982, 1989, 1993
Finaliste : 1903, 1916, 1918, 1924, 1929, 1930, 1933, 1940, 1943, 1958, 1960, 1961, 1968, 1979, 1983, 1990, 1992, 2002, 2004
Supercoupe d'Espagne (7)
Vainqueur : 1988, 1989, 1990, 1993, 1997, 2001, 2003
Coupe de la ligue d'Espagne (1)
Vainqueur : 1985
Finaliste : 1983
Coupe Eva Duarte (1)
Vainqueur : 1947
Coupe Latine (2)
Vainqueur : 1955, 1957
Coupe Mohamed V (1)
Vainqueur : 1966
Finaliste : 1963
Coupe Iberoamericana (organisé une seule fois)
Vainqueur : 1994
Trophée Naranja (2)
Vainqueur : 1990 et 2003
Compétitions Régionales [modifier]
Championnat Régional (18): 1903/04, 1904/05, 1905/06, 1906/07, 1907/08, 1912/13, 1915/16, 1916/17, 1917/18, 1919/20, 1921/22, 1922/23, 1923/24, 1925/26, 1926/27, 1928/29, 1929/30, 1930/31
Coupe Mancomunados (5): 1931, 1932, 1933, 1934, 1935
Trophées [modifier]
Trophée Santiago Bernabéu (17):
Vainqueur : 1981, 1983, 1984, 1985, 1987, 1989, 1991, 1994 à 2000, 2003 , 2005 et 2006
Trophée du centenaire de l'AC Milan (1): 2000
Trophée Ciudad de Caracas (1): 1980
Trophée Teresa Herrera (8): 1949, 1953, 1966, 1976, 1978, 1979, 1980 et 1994
Trophée Ramón de Carranza (6): 1958, 1959, 1960, 1966, 1970 et 1982
Trophée Benito Villamarín (1): 1960
Trophée Costa del Sol (2): 1970, 1976
Trophée Ciudad de La Línea (5): 1978, 1981, 1982, 1986, 2000
Trophée Ciutat de Palma (4): 1975, 1980, 1983, 1990
Trophée Ciutat de Barcelona de futbol (3): 1983, 1985, 1988
Trophée Euskadi Asegarce (3): 1994, 1995, 1996
Trophée Colombino (3): 1970, 1984, 1989
Trophée Ciudad de Vigo (2): 1981, 1982
Trophée Año Santo Compostelano (1): 1970
Trophée Naranja (2): 1990, 2003
Trophée Jesús Gil y Gil (1): 2005
Vainqueur : 1956, 1957, 1958, 1959, 1960, 1966, 1998, 2000, 2002
Finaliste : 1962, 1964, 1981
(283 matches, 164 victoires, 49 nuls et 70 défaites. 610 buts marqués, 321 encaissés)
Coupe d'Europe des Vainqueurs de Coupe
Finaliste : 1971, 1983
Coupe UEFA (2)
Vainqueur : 1985, 1986
Supercoupe d'Europe (1)
Vainqueur : 2002
Finaliste : 1998, 2000
Coupe Intercontinentale (3)
Vainqueur : 1960, 1998, 2002
Championnat (30)
Champion : 1932, 1933, 1954, 1955, 1957, 1958, 1961, 1962, 1963, 1964, 1965, 1967, 1968, 1969, 1972, 1975, 1976, 1978, 1979, 1980, 1986, 1987, 1988, 1989, 1990, 1995, 1997, 2001, 2003, 2007
Vice-Champion : 1929, 1934, 1935, 1936, 1942, 1945, 1959, 1960, 1966, 1981, 1983, 1984, 1992, 1993, 1999, 2005, 2006
Coupe (17)
Vainqueur : 1905, 1906, 1907, 1908, 1917, 1934, 1936, 1946, 1947, 1962, 1970, 1974, 1975, 1980, 1982, 1989, 1993
Finaliste : 1903, 1916, 1918, 1924, 1929, 1930, 1933, 1940, 1943, 1958, 1960, 1961, 1968, 1979, 1983, 1990, 1992, 2002, 2004
Supercoupe d'Espagne (7)
Vainqueur : 1988, 1989, 1990, 1993, 1997, 2001, 2003
Coupe de la ligue d'Espagne (1)
Vainqueur : 1985
Finaliste : 1983
Coupe Eva Duarte (1)
Vainqueur : 1947
Coupe Latine (2)
Vainqueur : 1955, 1957
Coupe Mohamed V (1)
Vainqueur : 1966
Finaliste : 1963
Coupe Iberoamericana (organisé une seule fois)
Vainqueur : 1994
Trophée Naranja (2)
Vainqueur : 1990 et 2003
Compétitions Régionales [modifier]
Championnat Régional (18): 1903/04, 1904/05, 1905/06, 1906/07, 1907/08, 1912/13, 1915/16, 1916/17, 1917/18, 1919/20, 1921/22, 1922/23, 1923/24, 1925/26, 1926/27, 1928/29, 1929/30, 1930/31
Coupe Mancomunados (5): 1931, 1932, 1933, 1934, 1935
Trophées [modifier]
Trophée Santiago Bernabéu (17):
Vainqueur : 1981, 1983, 1984, 1985, 1987, 1989, 1991, 1994 à 2000, 2003 , 2005 et 2006
Trophée du centenaire de l'AC Milan (1): 2000
Trophée Ciudad de Caracas (1): 1980
Trophée Teresa Herrera (8): 1949, 1953, 1966, 1976, 1978, 1979, 1980 et 1994
Trophée Ramón de Carranza (6): 1958, 1959, 1960, 1966, 1970 et 1982
Trophée Benito Villamarín (1): 1960
Trophée Costa del Sol (2): 1970, 1976
Trophée Ciudad de La Línea (5): 1978, 1981, 1982, 1986, 2000
Trophée Ciutat de Palma (4): 1975, 1980, 1983, 1990
Trophée Ciutat de Barcelona de futbol (3): 1983, 1985, 1988
Trophée Euskadi Asegarce (3): 1994, 1995, 1996
Trophée Colombino (3): 1970, 1984, 1989
Trophée Ciudad de Vigo (2): 1981, 1982
Trophée Año Santo Compostelano (1): 1970
Trophée Naranja (2): 1990, 2003
Trophée Jesús Gil y Gil (1): 2005
La période Ramón Calderón 2006-???? : Nouveau président du club
Les socios se sont donc réunis au début du mois de juillet afin de choisir le nouveau président de « la Maison Blanche ». Le 3 juillet dans l'après-midi, c'est finalement Ramón Calderón qui est officiellement intronisé président du Real Madrid, Predrag Mijatović devenant du même coup le directeur sportif.
Le désir du président est de refaire du Real Madrid un grand club capable de gagner des titres rapidement. C'est dans cette optique qu'il concrétise sa première promesse électorale, le 5 juillet, en faisant venir l'ancien entraineur de la Juventus Turin, Fabio Capello, qui de son côté souhaitait quitter son club relégué en Série B (deuxième divison du championnat italien).
Le technicien italien se met tout de suite à la tâche en faisant venir des joueurs permettant de renforcer l'entrejeu madridiste qui faisait défaut ces dernières saisons. Ainsi les joueurs suivants arrivent au club la même semaine :
Le 25 juillet 2006, Fabio Cannavaro, récent champion du monde avec l'Italie, considéré comme l'un des meilleurs défenseurs centraux au monde et provenant du même club que le nouvel entraîneur (Juventus Turin) - Il sera élu ballon d'or france football 2006 le 28 novembre 2006.
Le 26 juillet 2006, Emerson, milieu défensif brésilien arrive à son tour toujours de la Juventus Turin.
Le 28 juillet 2006, Fabio Capello fait venir l'un de ses attaquants préférés, Ruud van Nistelrooy qui quitte les Red Devils après y être tombé en disgrâce.
Enfin, le Real Madrid ajoute deux recrues de choix dans les dernières semaines de la période des tranferts:
Le 20 août 2006, le club, après une rude bataille avec ses homologues de l'Olympique lyonnais, parvient à faire signer le milieu défensif malien, Mahamadou Diarra, considéré comme la recrue « numéro 1 » du Real Madrid par son nouvel entraîneur.
Enfin, le 31 août 2006, les merengues concluent un dernier transfert en parvenant à échanger pour une durée d'un an avec option d'échange définitif, leur milieu offensif Júlio Baptista (arrivé du FC Séville la saison passée) contre l'espagnol, José Antonio Reyes qui souhaitait rentrer au pays.
La saison semble bien commencer pour le club puisque le 23 août 2006, il remporte son premier trophée, le trophée amical Santiago Bernabéu, aux dépens du club belge d'Anderlecht grâce notamment à deux buts de Ruud van Nistelrooy. Néanmoins, même si le club débute plutôt bien le championnat en figurant parmi le trio de tête après les 5 premières journées, il montre toujours des carences sur la scène européenne avec une nouvelle défaite contre l'Olympique lyonnais (2-0) sur un score qui aurait pu se montrer bien plus large.
Au premier mercato d'hiver sous la présidence Calderón, le recrutement se veut rajeuni et audacieux. Ainsi ont signé :
le 16 novembre 2006 : Marcelo, défenseur latéral gauche brésilien qui tentera de faire oublier son idole Roberto Carlos, une fois que ce dernier sera parti au ( Fenerbahçe),
le 20 décembre 2006 : Gonzalo Higuaín, jeune attaquant franco-argentin de 19 ans en provenance de River Plate. Ce joueur prometteur a été pré-sélectionné en équipes nationales par la France et l'Argentine mais a finalement choisi l'Albiceleste,
le 22 décembre 2006 : Fernando Gago, milieu défensif italo-argentin (international argentin) de Boca Juniors de 20 ans. On dit de lui qu'il est le nouveau Fernando Redondo, que les socios n'ont jamais oublié.
L'arrivée de Fabio Capello ne suffit néanmoins pas à améliorer de façon notable les résultats du club. Fin 2006 et début 2007, il n'hésite plus à écarter des cadres de l'équipe dont ceux qui sont arrivés au club à l'été 2006 :
Le 11 janvier 2007, la superstar anglaise David Beckham annonce son départ du club à l'été 2007 à la fin de son contrat pour le club du Los Angeles Galaxy moyennant un salaire annuel estimé à 38 millions d'euros. Capello annonce même le jour suivant qu'il a décidé de ne plus avoir recours à Beckham jusqu'à la fin de son contrat.
D'autres joueurs sont considérés comme indésirables par le technicien italien : Ronaldo, le Brésilien, meilleur buteur de l'histoire de la Coupe du Monde depuis 2006 ainsi qu'Antonio Cassano, l'Italien, arrivé seulement l'année passée, sont priés d'aller voir ailleurs car ils n'entrent pas dans le schéma tactique de l'équipe (on peut supposer que le comportement jugé irrespectueux de Cassano envers Capello y est aussi pour quelque chose).
Enfin, des membres de l'équipe sont fortement critiqués et notamment les nouvelles recrues de l'été qui sont jugées inefficaces par Capello : le club envisage le recrutement d'un défenseur central supplémentaire pour pallier le manque d'efficacité du défenseur central italien Fabio Cannavaro, Ballon d'or 2006 et élu meilleur joueur FIFA de l'année 2006 («Il joue mal et ne gagne plus aucun ballon » dit de lui son entraîneur). La paire de milieux de terrain recrutée à l'été, à savoir le Brésilien Emerson et le Malien Mahamadou Diarra, sont eux aussi critiqués. Seul Ruud van Nistelrooy semble donner satisfaction à l'entraîneur.
Certes les recrues n'ont pas donné l'efficacité attendue et le club est en pleine reconstruction, néanmoins Fabio Capello apparaît dépassé et il se murmure déjà de nombreuses rumeurs sur son éventuel remplacement à l'été (le nom de José Mourinho, entraineur de Chelsea, est lancé comme rumeur).
A la surprise générale de tous : direction, supporters et médias, le célèbre clásico qui devait matérialiser l'échec des tactiques italiennes, a démontré que Fabio Capello était bel et bien l'homme de la situation. Le Real Madrid, nouvelle version rajeunie, a failli humilier le Barça au Camp Nou devant les dizaines de milliers de Catalans qui ont assisté au choc. Ce n'est que grâce au jeune prodige argentin, Lionel Messi, auteur d'un triplé extraordinaire, que le Barça a pu décrocher le nul (3-3) dans les derniers instants du match. Depuis lors, le Real n'a cessé d'impressionner tout le monde. Aujourd'hui, à la veille de la 33ème journée, il occupe la troisième place à deux longueurs du Barça, leader actuel qui souffre, et à une seule du FC Séville après s'être imposé face au Nàstic Tarragona (2-0), au Celta Vigo (2-1), à Osasuna (2-0), face à Valence (2-1) et à San Mamés face à Bilbao (4-1). Seule une défaite injuste, marquée par de flagrantes erreurs d'arbitrage, contre le Racing Santander (1-2) risquait de nuire aux efforts de l'équipe. Après sa victoire lors de la 33ème journée face au FC Seville (qui était alors classé deuxième) sur le score de 3-2 (avec notamment un doublé de van Nistelrooy), le club madrilène semble plus que jamais en position de force pour mettre la pression sur le FC Barcelone, premier au classement. Aujourd'hui, le club est co-leader avec Barcelone, les deux clubs ayant 66 points chacun, mais le Real est considéré premier par la règle des confrontations directes en vigueur dans la Liga, le Real ayant battu Barcelone au match aller (2-0) et fait match nul (3-3) au match retour au Camp Nou. Lors de la 35ème journée de la Liga, le Real Madrid est difficilement venu à bout du Recreativo de Huelva. C'est en effet grâce au brésilien Roberto Carlos que le Real est parvenu à conserver sa place de leader grâce à un but à la dernière minute. Victoire ensuite 3-1 face au Deportivo La Corogne grace a des buts de Raúl, Sergio Ramos et Ruud van Nistelrooy. Le Real conserve sa place de leader avant un déplacement à Saragosse, déplacement qu'il gère bien puisqu'il accroche un match nul décisif sur un doublé de van Nistelrooy (56ème, 1-1 ; 89ème, 2-2). Ce match permettra au club madrilène de rester 1er au classement de la Liga, avantage que le club gardera péniblement durant la dernière journée. Menés 1-0 à la mi-temps, les Merengues ont renversé la tendance grâce à José Antonio Reyes (x 2) et Mahamadou Diarra et sont donc proclamés champions d'Espagne. Le 17 juin 2007, le Real remporte son 30e titre de Champion d'Espagne, en battant Majorque 3-1.
Le 19 juin 2007, le journal espagnol AS confirme que Fabio Capello sera remplacé sur le banc de touche du Real Madrid par l'actuel entraineur de Getafe, Bernd Schuster, après la finale de la Copa del Rey que Schuster dispute avec son club de Getafe contre le FC Séville (score 0-1), le 23 juin. Le technicien italien avait pourtant affirmé la veille son envie de rester au club estimant avoir réussi l'objectif fixé par le président au début de la saison et souhaitant permettre au club de "gagner la Ligue des Champions ". À la clôture de cette saison, le Real Madrid va devoir poursuivre la reconstruction de l'équipe avec encore un nouvel entraîneur, Bernd Schuster, et les départs de joueurs comme David Beckham ( Los Angeles Galaxy), Roberto Carlos ( Fenerbahçe) ou encore José Antonio Reyes (retour de prêt vers Arsenal).
Le 28 juin 2007, le Real Madrid décide de limoger Fabio Capello, auquel il restait un an de contrat. Son successeur est l'ex entraîneur de Getafe, Bernd Schuster. Il est présenté officiellement le 9 juillet 2007.
Au début du mois de juillet 2007, le Real Madrid recrute Pepe (défenseur central en provenance du FC Porto pour une somme de 30 millions d'euros), Metzelder (venu de Dortmund gratuitement), et Saviola (laissé libre par le FC Barcelone).
Le désir du président est de refaire du Real Madrid un grand club capable de gagner des titres rapidement. C'est dans cette optique qu'il concrétise sa première promesse électorale, le 5 juillet, en faisant venir l'ancien entraineur de la Juventus Turin, Fabio Capello, qui de son côté souhaitait quitter son club relégué en Série B (deuxième divison du championnat italien).
Le technicien italien se met tout de suite à la tâche en faisant venir des joueurs permettant de renforcer l'entrejeu madridiste qui faisait défaut ces dernières saisons. Ainsi les joueurs suivants arrivent au club la même semaine :
Le 25 juillet 2006, Fabio Cannavaro, récent champion du monde avec l'Italie, considéré comme l'un des meilleurs défenseurs centraux au monde et provenant du même club que le nouvel entraîneur (Juventus Turin) - Il sera élu ballon d'or france football 2006 le 28 novembre 2006.
Le 26 juillet 2006, Emerson, milieu défensif brésilien arrive à son tour toujours de la Juventus Turin.
Le 28 juillet 2006, Fabio Capello fait venir l'un de ses attaquants préférés, Ruud van Nistelrooy qui quitte les Red Devils après y être tombé en disgrâce.
Enfin, le Real Madrid ajoute deux recrues de choix dans les dernières semaines de la période des tranferts:
Le 20 août 2006, le club, après une rude bataille avec ses homologues de l'Olympique lyonnais, parvient à faire signer le milieu défensif malien, Mahamadou Diarra, considéré comme la recrue « numéro 1 » du Real Madrid par son nouvel entraîneur.
Enfin, le 31 août 2006, les merengues concluent un dernier transfert en parvenant à échanger pour une durée d'un an avec option d'échange définitif, leur milieu offensif Júlio Baptista (arrivé du FC Séville la saison passée) contre l'espagnol, José Antonio Reyes qui souhaitait rentrer au pays.
La saison semble bien commencer pour le club puisque le 23 août 2006, il remporte son premier trophée, le trophée amical Santiago Bernabéu, aux dépens du club belge d'Anderlecht grâce notamment à deux buts de Ruud van Nistelrooy. Néanmoins, même si le club débute plutôt bien le championnat en figurant parmi le trio de tête après les 5 premières journées, il montre toujours des carences sur la scène européenne avec une nouvelle défaite contre l'Olympique lyonnais (2-0) sur un score qui aurait pu se montrer bien plus large.
Au premier mercato d'hiver sous la présidence Calderón, le recrutement se veut rajeuni et audacieux. Ainsi ont signé :
le 16 novembre 2006 : Marcelo, défenseur latéral gauche brésilien qui tentera de faire oublier son idole Roberto Carlos, une fois que ce dernier sera parti au ( Fenerbahçe),
le 20 décembre 2006 : Gonzalo Higuaín, jeune attaquant franco-argentin de 19 ans en provenance de River Plate. Ce joueur prometteur a été pré-sélectionné en équipes nationales par la France et l'Argentine mais a finalement choisi l'Albiceleste,
le 22 décembre 2006 : Fernando Gago, milieu défensif italo-argentin (international argentin) de Boca Juniors de 20 ans. On dit de lui qu'il est le nouveau Fernando Redondo, que les socios n'ont jamais oublié.
L'arrivée de Fabio Capello ne suffit néanmoins pas à améliorer de façon notable les résultats du club. Fin 2006 et début 2007, il n'hésite plus à écarter des cadres de l'équipe dont ceux qui sont arrivés au club à l'été 2006 :
Le 11 janvier 2007, la superstar anglaise David Beckham annonce son départ du club à l'été 2007 à la fin de son contrat pour le club du Los Angeles Galaxy moyennant un salaire annuel estimé à 38 millions d'euros. Capello annonce même le jour suivant qu'il a décidé de ne plus avoir recours à Beckham jusqu'à la fin de son contrat.
D'autres joueurs sont considérés comme indésirables par le technicien italien : Ronaldo, le Brésilien, meilleur buteur de l'histoire de la Coupe du Monde depuis 2006 ainsi qu'Antonio Cassano, l'Italien, arrivé seulement l'année passée, sont priés d'aller voir ailleurs car ils n'entrent pas dans le schéma tactique de l'équipe (on peut supposer que le comportement jugé irrespectueux de Cassano envers Capello y est aussi pour quelque chose).
Enfin, des membres de l'équipe sont fortement critiqués et notamment les nouvelles recrues de l'été qui sont jugées inefficaces par Capello : le club envisage le recrutement d'un défenseur central supplémentaire pour pallier le manque d'efficacité du défenseur central italien Fabio Cannavaro, Ballon d'or 2006 et élu meilleur joueur FIFA de l'année 2006 («Il joue mal et ne gagne plus aucun ballon » dit de lui son entraîneur). La paire de milieux de terrain recrutée à l'été, à savoir le Brésilien Emerson et le Malien Mahamadou Diarra, sont eux aussi critiqués. Seul Ruud van Nistelrooy semble donner satisfaction à l'entraîneur.
Certes les recrues n'ont pas donné l'efficacité attendue et le club est en pleine reconstruction, néanmoins Fabio Capello apparaît dépassé et il se murmure déjà de nombreuses rumeurs sur son éventuel remplacement à l'été (le nom de José Mourinho, entraineur de Chelsea, est lancé comme rumeur).
A la surprise générale de tous : direction, supporters et médias, le célèbre clásico qui devait matérialiser l'échec des tactiques italiennes, a démontré que Fabio Capello était bel et bien l'homme de la situation. Le Real Madrid, nouvelle version rajeunie, a failli humilier le Barça au Camp Nou devant les dizaines de milliers de Catalans qui ont assisté au choc. Ce n'est que grâce au jeune prodige argentin, Lionel Messi, auteur d'un triplé extraordinaire, que le Barça a pu décrocher le nul (3-3) dans les derniers instants du match. Depuis lors, le Real n'a cessé d'impressionner tout le monde. Aujourd'hui, à la veille de la 33ème journée, il occupe la troisième place à deux longueurs du Barça, leader actuel qui souffre, et à une seule du FC Séville après s'être imposé face au Nàstic Tarragona (2-0), au Celta Vigo (2-1), à Osasuna (2-0), face à Valence (2-1) et à San Mamés face à Bilbao (4-1). Seule une défaite injuste, marquée par de flagrantes erreurs d'arbitrage, contre le Racing Santander (1-2) risquait de nuire aux efforts de l'équipe. Après sa victoire lors de la 33ème journée face au FC Seville (qui était alors classé deuxième) sur le score de 3-2 (avec notamment un doublé de van Nistelrooy), le club madrilène semble plus que jamais en position de force pour mettre la pression sur le FC Barcelone, premier au classement. Aujourd'hui, le club est co-leader avec Barcelone, les deux clubs ayant 66 points chacun, mais le Real est considéré premier par la règle des confrontations directes en vigueur dans la Liga, le Real ayant battu Barcelone au match aller (2-0) et fait match nul (3-3) au match retour au Camp Nou. Lors de la 35ème journée de la Liga, le Real Madrid est difficilement venu à bout du Recreativo de Huelva. C'est en effet grâce au brésilien Roberto Carlos que le Real est parvenu à conserver sa place de leader grâce à un but à la dernière minute. Victoire ensuite 3-1 face au Deportivo La Corogne grace a des buts de Raúl, Sergio Ramos et Ruud van Nistelrooy. Le Real conserve sa place de leader avant un déplacement à Saragosse, déplacement qu'il gère bien puisqu'il accroche un match nul décisif sur un doublé de van Nistelrooy (56ème, 1-1 ; 89ème, 2-2). Ce match permettra au club madrilène de rester 1er au classement de la Liga, avantage que le club gardera péniblement durant la dernière journée. Menés 1-0 à la mi-temps, les Merengues ont renversé la tendance grâce à José Antonio Reyes (x 2) et Mahamadou Diarra et sont donc proclamés champions d'Espagne. Le 17 juin 2007, le Real remporte son 30e titre de Champion d'Espagne, en battant Majorque 3-1.
Le 19 juin 2007, le journal espagnol AS confirme que Fabio Capello sera remplacé sur le banc de touche du Real Madrid par l'actuel entraineur de Getafe, Bernd Schuster, après la finale de la Copa del Rey que Schuster dispute avec son club de Getafe contre le FC Séville (score 0-1), le 23 juin. Le technicien italien avait pourtant affirmé la veille son envie de rester au club estimant avoir réussi l'objectif fixé par le président au début de la saison et souhaitant permettre au club de "gagner la Ligue des Champions ". À la clôture de cette saison, le Real Madrid va devoir poursuivre la reconstruction de l'équipe avec encore un nouvel entraîneur, Bernd Schuster, et les départs de joueurs comme David Beckham ( Los Angeles Galaxy), Roberto Carlos ( Fenerbahçe) ou encore José Antonio Reyes (retour de prêt vers Arsenal).
Le 28 juin 2007, le Real Madrid décide de limoger Fabio Capello, auquel il restait un an de contrat. Son successeur est l'ex entraîneur de Getafe, Bernd Schuster. Il est présenté officiellement le 9 juillet 2007.
Au début du mois de juillet 2007, le Real Madrid recrute Pepe (défenseur central en provenance du FC Porto pour une somme de 30 millions d'euros), Metzelder (venu de Dortmund gratuitement), et Saviola (laissé libre par le FC Barcelone).
La période Florentino Pérez 2000-2006 : Président du club du REAL MADRID
Lors des élections (pour lesquelles tous les socios n'ont pas le droit de vote) du 16 juillet 2000, Florentino Pérez est élu président du club.
Le Real Madrid C.F. entreprend sous sa direction le développement de ses activités commerciales. Pour certains détracteurs, cette stratégie consiste à employer les footballeurs les plus médiatiques et les plus talentueux, en rentabilisant l'argent investi par la vente d'objets dérivés ou par de lucratives tournées internationales aux quatre coins du globe.
Stade de Santiago Bernabéu
Le Real évolue au Stade Santiago Bernabéu (ex-Chamartín). Après de nombreux travaux d'agrandissements, le stade pouvait accueillir plus de 110 000 spectateurs dans les années 50. Places assises obliges, la capacité de l'enceinte est désormais de 80 000.
Son effectif toujours constellé de stars depuis les années 1950 est particulièrement riche ces dernières saisons après les transferts de Luis Figo (arrivé en 2000 du FC Barcelone - parti en août 2005 à l'Inter Milan), Zinédine Zidane (arrivé en 2001 de la Juventus, qui est maintenant à la retraite depuis la finale de la coupe du monde 2006 en Allemagne), Ronaldo (arrivé en 2002 de l'Inter Milan - parti en janvier 2007 au Milan AC), David Beckham (arrivé en 2003 de Manchester United), Michael Owen (arrivé en 2004 de Liverpool FC - parti en août 2005 à Newcastle United), Robinho (arrivé en 2005 de Santos FC) et tout récemment Antonio Cassano (arrivé en 2006 de l'AS Rome). Raúl fait lui figure d'enfant du cru et incarne le madridisme au plus haut point.
De gauche à droite : Zinédine Zidane (5), Ronaldo (9), Raúl (7) et David Beckham (23)
Parmi les anciennes gloires du Real, il convient de citer, parmi bien d'autres, tout d'abord la plus brillante étoile du club : l'Argentin naturalisé Espagnol Alfredo Di Stéfano, les Espagnols Francisco Gento recordman des victoires en C1 (6) et Emilio Butragueño, le Français Raymond Kopa, le Hongrois Ferenc Puskás et le Mexicain Hugo Sánchez.
Néanmoins ces dernières années la politique de recrutement de superstars du football (Luis Figo, Zinédine Zidane, Ronaldo, David Beckham) et de départs de joueurs essentiels de Florentino Pérez semble fortement remise en cause du fait des mauvais résultats du club. L'ex-président a semblé en effet plutôt privilégier le côté marketing (derniers achats en date ceux de Robinho, perle brésilienne et Antonio Cassano, star montante italienne pour encore et toujours renforcer le secteur offensif) que le côté sportif et le public exprime régulièrement son mécontentement lors des prestations du club au Stade Santiago Bernabéu avec des pañoladas (en sortant les mouchoirs blancs).
Le changement régulier d'entraîneurs (5 depuis le limogeage de Vicente del Bosque en 2003) affecte d'autant plus un club qui a besoin d'une stabilité pour se reconstruire. Un nouveau plan sportif a récemment été lancé. Finie aussi, semble-t-il, la politique du recrutement de perles sud-américaines (7 joueurs de l'effectif 2005-2006 étant de cette origine dont 5 brésiliens), les dirigeants voulant se tourner vers un effectif plus européen et encore plus ibérique. L'équipe cherche donc une nouvelle recette magique dans une Espagne où elle est derrière le FC Barcelone de Ronaldinho et dans une Europe où elle est en perte de vitesse, les stars d'il y a quelques années ne suffisant plus au bonheur.
Le 27 février 2006 à l'occasion d'un conseil extraordinaire des dirigeants du club, le président Florentino Pérez remet sa démission. Son principal homme de confiance Fernando Martín lui succède. Fernando Martín démissionne à son tour le 26 avril 2006 pour préparer les élections où il envisage de se présenter. Luís Gómez-Montejano devient président du Real Madrid jusqu'à la tenue des prochaines élections, le 2 juillet 2006.
Le Real Madrid C.F. entreprend sous sa direction le développement de ses activités commerciales. Pour certains détracteurs, cette stratégie consiste à employer les footballeurs les plus médiatiques et les plus talentueux, en rentabilisant l'argent investi par la vente d'objets dérivés ou par de lucratives tournées internationales aux quatre coins du globe.
Stade de Santiago Bernabéu
Le Real évolue au Stade Santiago Bernabéu (ex-Chamartín). Après de nombreux travaux d'agrandissements, le stade pouvait accueillir plus de 110 000 spectateurs dans les années 50. Places assises obliges, la capacité de l'enceinte est désormais de 80 000.
Son effectif toujours constellé de stars depuis les années 1950 est particulièrement riche ces dernières saisons après les transferts de Luis Figo (arrivé en 2000 du FC Barcelone - parti en août 2005 à l'Inter Milan), Zinédine Zidane (arrivé en 2001 de la Juventus, qui est maintenant à la retraite depuis la finale de la coupe du monde 2006 en Allemagne), Ronaldo (arrivé en 2002 de l'Inter Milan - parti en janvier 2007 au Milan AC), David Beckham (arrivé en 2003 de Manchester United), Michael Owen (arrivé en 2004 de Liverpool FC - parti en août 2005 à Newcastle United), Robinho (arrivé en 2005 de Santos FC) et tout récemment Antonio Cassano (arrivé en 2006 de l'AS Rome). Raúl fait lui figure d'enfant du cru et incarne le madridisme au plus haut point.
De gauche à droite : Zinédine Zidane (5), Ronaldo (9), Raúl (7) et David Beckham (23)
Parmi les anciennes gloires du Real, il convient de citer, parmi bien d'autres, tout d'abord la plus brillante étoile du club : l'Argentin naturalisé Espagnol Alfredo Di Stéfano, les Espagnols Francisco Gento recordman des victoires en C1 (6) et Emilio Butragueño, le Français Raymond Kopa, le Hongrois Ferenc Puskás et le Mexicain Hugo Sánchez.
Néanmoins ces dernières années la politique de recrutement de superstars du football (Luis Figo, Zinédine Zidane, Ronaldo, David Beckham) et de départs de joueurs essentiels de Florentino Pérez semble fortement remise en cause du fait des mauvais résultats du club. L'ex-président a semblé en effet plutôt privilégier le côté marketing (derniers achats en date ceux de Robinho, perle brésilienne et Antonio Cassano, star montante italienne pour encore et toujours renforcer le secteur offensif) que le côté sportif et le public exprime régulièrement son mécontentement lors des prestations du club au Stade Santiago Bernabéu avec des pañoladas (en sortant les mouchoirs blancs).
Le changement régulier d'entraîneurs (5 depuis le limogeage de Vicente del Bosque en 2003) affecte d'autant plus un club qui a besoin d'une stabilité pour se reconstruire. Un nouveau plan sportif a récemment été lancé. Finie aussi, semble-t-il, la politique du recrutement de perles sud-américaines (7 joueurs de l'effectif 2005-2006 étant de cette origine dont 5 brésiliens), les dirigeants voulant se tourner vers un effectif plus européen et encore plus ibérique. L'équipe cherche donc une nouvelle recette magique dans une Espagne où elle est derrière le FC Barcelone de Ronaldinho et dans une Europe où elle est en perte de vitesse, les stars d'il y a quelques années ne suffisant plus au bonheur.
Le 27 février 2006 à l'occasion d'un conseil extraordinaire des dirigeants du club, le président Florentino Pérez remet sa démission. Son principal homme de confiance Fernando Martín lui succède. Fernando Martín démissionne à son tour le 26 avril 2006 pour préparer les élections où il envisage de se présenter. Luís Gómez-Montejano devient président du Real Madrid jusqu'à la tenue des prochaines élections, le 2 juillet 2006.
Le Santiago Bernabeù : Stade de Madrid
Le 15 septembre 1943, Santiago Bernabéu est nommé à l'unanimité président du club. Peu avant, le Real Madrid C.F. bat le FC Barcelone 11-1 en match de coupe (0-3 à l'aller), ce qui reste comme une victoire unique dans la mémoire collective du madridisme.
Pendant la présidence de Santiago Bernabéu, le Real Madrid C.F. construit son stade (inauguré le 14 décembre 1947 par une victoire du Real sur Belenenses, 3-1) et gagne 16 titres de champion d'Espagne et 6 coupes d'Europe dont 5 consécutives : un record inégalé depuis plus de cinquante ans.Mais cette période faste du Real Madrid est entâchée par le soutien de Franco, le dictateur espagnol. En effet, l'idéologie franquiste considérant la Castille (région à laquelle appartient Madrid) comme le modèle culturel pour l'Espagne, il se devait que le Real Madrid soit la meilleure équipe d'Espagne. Selon certaines sources, il était prévu qu'Alfredo Di Stéfano signe au Barça, mais Franco serait intervenu pour que ce transfert n'ait pas lieu, et favoriser la venue de Di Stéfano au Real Madrid. Un grand nombre de chroniqueurs sportifs estiment au contraire que cette histoire tient de la rumeur sans fondement.
1978-2000 [modifier]
Le club gagne des titres de champion (10 en 22 ans), et des coupe d'Espagne de football (4). Mais la grande époque du Real n'est plus là. Le club gagnera tout de même 2 coupes UEFA (en 1985 et en 1986) et sera finaliste de la Ligue des champions en 1981. Il la remporte en 1998.
Les entraîneurs se succèderont à un rythme effréné: Luis Molowny (1977-1979), Boskov (1979-1982), Luis Molowny (1982), Alfredo Di Stéfano (1982-1984), Amancio Amaro (1984-1985), Luis Molowny (1985-1986), Leo Beenhakker (1986-1989), John Toshack (1989-1990), Alfredo Di Stéfano (1990-1991), Radomir Antić (1991-1992), Leo Beenhakker (1992), Benito Floro (1992-1994), Vicente del Bosque (1994), Jorge Valdano (1994-1995), Arsenio Iglesias (1995-1996), Fabio Capello (1996-1997), Jupp Heynckes (1997-1998), Guus Hiddink (1998-1999), John Toshack (1999).
Cette instabilité demeure toujours au sein du club qui a du mal à conserver plus de 2 saisons ses entraîneurs.
Pendant la présidence de Santiago Bernabéu, le Real Madrid C.F. construit son stade (inauguré le 14 décembre 1947 par une victoire du Real sur Belenenses, 3-1) et gagne 16 titres de champion d'Espagne et 6 coupes d'Europe dont 5 consécutives : un record inégalé depuis plus de cinquante ans.Mais cette période faste du Real Madrid est entâchée par le soutien de Franco, le dictateur espagnol. En effet, l'idéologie franquiste considérant la Castille (région à laquelle appartient Madrid) comme le modèle culturel pour l'Espagne, il se devait que le Real Madrid soit la meilleure équipe d'Espagne. Selon certaines sources, il était prévu qu'Alfredo Di Stéfano signe au Barça, mais Franco serait intervenu pour que ce transfert n'ait pas lieu, et favoriser la venue de Di Stéfano au Real Madrid. Un grand nombre de chroniqueurs sportifs estiment au contraire que cette histoire tient de la rumeur sans fondement.
1978-2000 [modifier]
Le club gagne des titres de champion (10 en 22 ans), et des coupe d'Espagne de football (4). Mais la grande époque du Real n'est plus là. Le club gagnera tout de même 2 coupes UEFA (en 1985 et en 1986) et sera finaliste de la Ligue des champions en 1981. Il la remporte en 1998.
Les entraîneurs se succèderont à un rythme effréné: Luis Molowny (1977-1979), Boskov (1979-1982), Luis Molowny (1982), Alfredo Di Stéfano (1982-1984), Amancio Amaro (1984-1985), Luis Molowny (1985-1986), Leo Beenhakker (1986-1989), John Toshack (1989-1990), Alfredo Di Stéfano (1990-1991), Radomir Antić (1991-1992), Leo Beenhakker (1992), Benito Floro (1992-1994), Vicente del Bosque (1994), Jorge Valdano (1994-1995), Arsenio Iglesias (1995-1996), Fabio Capello (1996-1997), Jupp Heynckes (1997-1998), Guus Hiddink (1998-1999), John Toshack (1999).
Cette instabilité demeure toujours au sein du club qui a du mal à conserver plus de 2 saisons ses entraîneurs.
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